Boudnib - Ouarzazate : le trajet
Jour 8 :
François qui dirige ce camping nous a conseiller sur les pistes à prendre et où bivouaquer. Merci François et à toute ton équipe pour votre accueil. Etape à faire. Après le plein d'eau nous partons.
Pratiquement dès le début un vent chaud, non, brûlant, nous assèche totalement. Je n'ai jamais autant bu, de l'eau je précise pour les mauvaises langues... Traversée d'étendues immensément désertiques.
Jour 8 :
François qui dirige ce camping nous a conseiller sur les pistes à prendre et où bivouaquer. Merci François et à toute ton équipe pour votre accueil. Etape à faire. Après le plein d'eau nous partons.
Pratiquement dès le début un vent chaud, non, brûlant, nous assèche totalement. Je n'ai jamais autant bu, de l'eau je précise pour les mauvaises langues... Traversée d'étendues immensément désertiques.
A l'approche de la frontière algérienne, nous avons droit à notre premier contrôle militaire.
Pas de problème, des militaires très gentils, on discute un peu de notre voyage. Nous avons approché la frontière très surveillée à environ 3,5 km. Nous sommes en sécurité.
Pas de problème, des militaires très gentils, on discute un peu de notre voyage. Nous avons approché la frontière très surveillée à environ 3,5 km. Nous sommes en sécurité.Nous goûtons à nos premières portions de sable. Nous bivouaquons dans une oasis, rencontre intéressante, avec un berger qui y vit toute l'année.
Nous finissons avec un désormais traditionnel vent de sable qui nous oblige à nous cloitrer dans les voitures.
Jour 9 :
Levé du jour sur l'oasis avec un ciel bleu et sans vent pour prendre le petit déj.
Nous empruntons une piste un peu sinueuse et très légèrement vallonnée, le décor est parsemé de quelques arbres. Nous arrivons sur une plaine où les traces sont tantôt nombreuses, tantôt peu visibles. Nous nous dirigeons au cap. Nous passons à côté d'habitations, par ci par là, au bord de grandes dunes. Nous traversons Mfis, village abandonné.
Par un col et nous approchons l'erg Chebbi. Il n'est que 13h et le vent de sable se lève et pas pour rire ! Tous phares allumés nous envoyons les chevaux pour évoluer dans le sable. Pas question de lever le pied.
Nous arrivons à Merzouga toujours avec ce vent de sable qui ne nous quitte pas. En revanche, Xavier et Ghislaine vont prendre une autre route pour remonter tranquillement car les vacances se terminent pour eux. Cà a été une vraie rencontre, cinq jours passés ensemble très agréable, nous avons la même philosophie du voyage.
C'est sûr, on se reverra.
Toute une organisation, faut pas se laisser surprendre ! Montage du campement, piscine, apéro. Le vent de sable est toujours là, et m... pour faire la cuisine dehors, donc tajine au restau.
Jour 10 :
Nous devions suivre le RB16 de Vibraction mais étant seuls et échaudés suite à notre panne au milieu de nul part nous décidons de partir vers les gorges du Todra en empruntant le goudron jusqu'à Tinghir.
La veille, j'ai pris contact avec 
M'barek pour un rendez-vous afin de lui confier un peu de matériel scolaire. Nous arrivons à Aït Hammou, son village natal où nous avons été reçus comme des rois par ses parents. Nous avons rendu visite aux petits élèves dans l'unique classe. Nous reprenons la piste puis la route jusqu'au camping, des Savoyards sont là, Henriette et Roland. Pas le temps de déplier la tente, l'apéro est servi... chacun sa réserve, il fait bien nuit quand nous montons le campement...
Jour 11 :
Un temps bien couvert nous accompagne pour cette petite journée dans les gorges du Todra. Nous suivons le Toy HZJ79 et sa cellule de nos amis savoyards.
Nous remontons l'oued dans une vallée encaissée, longeons des petites parcelles de culture, puis suivons la route par un passage très étroit entre deux falaises (≈250 à 300m de haut), impressionnant ! Nous découvrons des paysages fabuleux. Nous nous arrêtons à Tamtetoucht. Avec les averses en fin de journée arrivent Patrick et son Land 130 que nous avions aperçu au Rekkam à Boudnib et Thierry et Geneviève en Toy 120.
Jour 12 :
Après une nuit au son du crépitement des gouttes de pluie sur la toile de tente, nous partons pour Aït Ameur. 9° alors que là où nous étions 2 jours plus tôt il faisait 40°. Faut dire que nous sommes à 2200 m d'altitude. Beaucoup de monde malgré la météo. Nous pataugeons dans la boue, au milieu des étalages, sous des bâches plus ou moins étanches, de fruits et légumes, poulets, vêtements, cuvettes et ustensiles de cuisine, tapis, etc... Il y a aussi un barbier/coiffeur, e
n plusieurs endroits, toujours sous des bâches, on peut s'attabler pour manger des grillades ou boire le thé. Nous n'avons pas pu accéder au bâtiment où ont lieu les mariages collectifs.
Jour 9 :
Levé du jour sur l'oasis avec un ciel bleu et sans vent pour prendre le petit déj.Nous empruntons une piste un peu sinueuse et très légèrement vallonnée, le décor est parsemé de quelques arbres. Nous arrivons sur une plaine où les traces sont tantôt nombreuses, tantôt peu visibles. Nous nous dirigeons au cap. Nous passons à côté d'habitations, par ci par là, au bord de grandes dunes. Nous traversons Mfis, village abandonné.
Par un col et nous approchons l'erg Chebbi. Il n'est que 13h et le vent de sable se lève et pas pour rire ! Tous phares allumés nous envoyons les chevaux pour évoluer dans le sable. Pas question de lever le pied.
Nous arrivons à Merzouga toujours avec ce vent de sable qui ne nous quitte pas. En revanche, Xavier et Ghislaine vont prendre une autre route pour remonter tranquillement car les vacances se terminent pour eux. Cà a été une vraie rencontre, cinq jours passés ensemble très agréable, nous avons la même philosophie du voyage.
C'est sûr, on se reverra.
Toute une organisation, faut pas se laisser surprendre ! Montage du campement, piscine, apéro. Le vent de sable est toujours là, et m... pour faire la cuisine dehors, donc tajine au restau.
Jour 10 :
Nous devions suivre le RB16 de Vibraction mais étant seuls et échaudés suite à notre panne au milieu de nul part nous décidons de partir vers les gorges du Todra en empruntant le goudron jusqu'à Tinghir.
La veille, j'ai pris contact avec M'barek pour un rendez-vous afin de lui confier un peu de matériel scolaire. Nous arrivons à Aït Hammou, son village natal où nous avons été reçus comme des rois par ses parents. Nous avons rendu visite aux petits élèves dans l'unique classe. Nous reprenons la piste puis la route jusqu'au camping, des Savoyards sont là, Henriette et Roland. Pas le temps de déplier la tente, l'apéro est servi... chacun sa réserve, il fait bien nuit quand nous montons le campement...Jour 11 :Un temps bien couvert nous accompagne pour cette petite journée dans les gorges du Todra. Nous suivons le Toy HZJ79 et sa cellule de nos amis savoyards.
Nous remontons l'oued dans une vallée encaissée, longeons des petites parcelles de culture, puis suivons la route par un passage très étroit entre deux falaises (≈250 à 300m de haut), impressionnant ! Nous découvrons des paysages fabuleux. Nous nous arrêtons à Tamtetoucht. Avec les averses en fin de journée arrivent Patrick et son Land 130 que nous avions aperçu au Rekkam à Boudnib et Thierry et Geneviève en Toy 120.Jour 12 :
Après une nuit au son du crépitement des gouttes de pluie sur la toile de tente, nous partons pour Aït Ameur. 9° alors que là où nous étions 2 jours plus tôt il faisait 40°. Faut dire que nous sommes à 2200 m d'altitude. Beaucoup de monde malgré la météo. Nous pataugeons dans la boue, au milieu des étalages, sous des bâches plus ou moins étanches, de fruits et légumes, poulets, vêtements, cuvettes et ustensiles de cuisine, tapis, etc... Il y a aussi un barbier/coiffeur, e
n plusieurs endroits, toujours sous des bâches, on peut s'attabler pour manger des grillades ou boire le thé. Nous n'avons pas pu accéder au bâtiment où ont lieu les mariages collectifs.
Nous redescendons les gorges du Todra par la même route, l'oued a considérablement gonflé, nous franchissons quelques gués comme à Aït Hani qui était sec en début de matinée. Nous apprenons que la piste qui permet de rejoindre les gorges du Dadès n'est pas praticable suite à un éboulement.
Jour 13 :
Le jour suivant, il pleut toujours. Direction les gorges du Dadès en compagnie de Thierry et Geneviève. Malgré la pluie et une température bien basse, les adultes prennent des photos et commentent, les enfants sont tout fous, courent, pataugent et sautent dans tous les sens de façon pas toujours prudente. Ca fait 6 ans qu'ils n'ont pas vu une telle furie. Nous longeons le Dadès, nous sommes quelquefois dans l'oued avec de l'eau jusqu'en haut du par-choc, la route est envahie
. Dans sa partie la plus étroite, nous franchissons les lacets de la route pour nous élever en haut de la falaise. Nous faisons demi-tour un peu avant Aït Hammou, le temps est trop pourri. Nous ne sommes pas certains de pouvoir franchir de nouveau les gués si nous tardons. Effectivement l'eau a encore monté, des voitures sont bloquées dans l'eau. A B
oulmane Dadès nous prenons la direction de Ouarzazate. La plaine du Dadès est en partie recouverte et les franchissements deviennent plus délicats. Pour l'un d'entre eux, j'ai mis un caillou au bord pour surveiller le niveau et attendre qu'il descende un peu. Nous sommes arrivés à Ouarzazate à 20h30 après une crevaison et des passages d'oueds costauds (par la poussée de l'eau sur les portières le 4x4 prenait une certaine dérive...) et quelques embouteillages. Nous prenons une chambre au terrain de camping à plusieurs km du centre ville.Etape suivante : Ouarzazate - Tafraoute
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